Dott. Daniel Tirelli
Covid19: la science en crise ou la punition suprême ? Guerrier de forme sphérique et épineux en tout point de sa surface et de son âme, Covid19 a fait dresser une armée de toutes les forces scientifiques terrestres pour le faire battre en retraite, mais vainement celui-ci se repend en tout point du globe, comme pour défier l’humanité, du chemin qu’elle a pris. A Wuhan où l’homme pense avoir traqué ce premier ennemi, et cœur bouillant de la civilisation de consommation où le moteur capitaliste asservit au travail des chinois à peine issus d’un système, qui par son histoire, Maoïste, en serait l’opposé et qui en deviennent des « MIMI » mi-homme, mirobot! De ce lieu où il se serait infiltré et identifié comme un élément inconnu à ce jour, provenant du plus profond de l’espèce sauvage et du méconnu de l’homme, comme la chauve-souris ou le pangolin, qui soudainement sont présents au cœur de ‘Smart Cities’ bouillonnantes, truffées de High Tech, et dotées de laboratoires qui par leur niveau de sécurité seraient des plus sures au monde. De par la façon de lutter contre la pandémie où certains gouvernements, réputés comme libéraux et législatives, et appuyés lourdement par leurs hommes de science, ont adopté sans grand débat des mesures dictatoriales et parfois en parfaite contradiction à la pensée scientifique, probablement par effet de panique si on devait les justifier. Mais qu’est donc devenue la science ? De par ces querelles de clochers universitaires ou le protocole établi pour la maladie X doit régner pour toutes les maladies, et voir se dresser des menaces, vers qui remettrait en doute cette science ÉTABLIE, souvent au profit des grands lobbies ! Ces derniers ne pouvant laisser s’échapper cette opportunité commerciale gigantesque, par la diffusion mondiale d’un vaccin à venir, qui lui, aura suivi le protocole ! Ces lobbies poussant la presse à censurer scientifiquement les chercheurs farfelus qui illusionnent leur public de guérison presque facile et peu onéreuse, soit par des remèdes de sorcière aux cheveux longs et clairs, soit par des médicaments existant de longue date mais utilisés pour des maladies totalement différentes et n amenant donc aucun profit au fabricant ! Quiconque a travaillé dans la recherche scientifique, quel qu’en soit le domaine, sait combien il est difficile mais surtout parfois décourageant, de mener au bout sa recherche, et ses résultats. N’est-ce pas la science même qui nous enseigne la relativité, et par là, celle des méthodes. Un exemple en est, et qui nous touche parallèlement à la pandémie : le changement climatique, qui risque lui aussi d’amener bien plus précocement que celui annoncé, à des bouleversements planétaires impensables il y a encore quelques décennies. Il se confirme de jour en jour que celui-ci suit les lois d’un autre système, le système chaotique, et non plus celui de la mécanique classique établie formellement il y a des siècles comme immuable. Et c’est bien la méconnaissance de ce nouveau système qui provoque bien souvent des réactions de rejet chez qui la maîtrise du système primaire est parfaite, car toute sa connaissance y est remise en cause. Covid19 serait–il donc une première brèche vers ce nouvel ordre, biologique ? où chaque jour des résultats inattendus apparaissent… mais surtout remettent en cause les acquis ! Mais l’écoute et l’ouverture ne sont-ils pas le propre de l’esprit scientifique ? Et de se rendre compte qu’en survolant toutes les étapes des raisonnements scientifiques, que l’homme lui-même serait responsable de cette grave pandémie par la destruction massive de l’équilibre naturel ? Comme le clame Zhengli Shi, la directrice d’un fameux laboratoire de virologie de Wuhan. Une vision simpliste des effets sur la santé du Covid19, appuyée toutefois par les très récents résultats de chercheurs italiens de Bari, Bologne et Trieste, montrent que la pollution et l’environnement sont étroitement liés à sa virulence, son développement et à sa contagion. N’avions-nous pas déjà cette forte corrélation pour les grippes et gastro-entérites Lombardes depuis des dizaines d’années ? Mais bien sûr il n’y avait pas de protocole. Hélas! Et que dire du formidable et morbide modèle que constitue l’indénombrable quantité de cancers, pour lesquels les substances chimiques et l’environnement sont mis en cause, avec là encore, les luttes acharnées des lobbyistes pour en fausser la vision. La petite remarque qu’on ne saurait oublier avant de clore ce regard sur cette invasion, portera sur le positionnement géographique et les conséquences économiques de ce virus. Un œil averti sur la carte mondiale du désastre sanitaire, fait apparaître une proportionnalité presque exacte entre le degré d’atteinte des pays et leur développement « consumériste » ! Et même si parmi eux certains pays semblent sortir vainqueur de cette invasion, de par leur dépendance aux autres, ils subiront irrémédiablement une dégradation sociale et culturelle identique, et même reproductive si le virus ne s’estompe pas comme l’histoire le rapporte! La petite Greta, certainement poussée par des pouvoirs naissants, serait-elle donc le messie inécouté de ce monde de Huxley reconnu comme le meilleur des mondes ? Et si quelqu’un y voit une punition divine, celle-ci ne serait-elle pas amplifiée pour le monde urbain et occidentale par les conséquences économiques à prédire ? Car c’est en effet là où la densité de population est importante et où l’industrialisation est la plus massive que les problèmes de contagiosité sont les plus cruciaux et où le bien-être humain en sera le plus affecté, par une réorganisation urbaine irréalisable ou par des sacrifices psychologiques dramatiques ! Enfin nous savions que les hommes politiques ne sont jamais responsables mais qu’en est-il des scientifiques, qui, durant cette épreuve Covid19, soutiennent des propos aux conséquences psychiques et parfois sanitaires très graves ? On pourrait citer : « l’interdiction formelle de courir, pédaler ou marcher en pleine nature sous peine d’amende » et y juxtaposer la citation de Louis Pasteur, savant bien actuel en ces jours ! : “Le meilleur médecin est la nature : elle guérit les trois quarts des maladies et ne dit jamais de mal de ses confrères.” A moins que ce trébuchement ne soit pas celui de la science mais bien celui des hommes devant le début de la fin annoncée d’un monde surpeuplé !